10: Avenches à Payerne

Encore un joyau du Moyen-âge

 

 

Nous avons divisé l’itinéraire en plusieurs sections, pour faciliter la visibilité. Pour chaque tronçon, les cartes donnent l’itinéraire, les pentes trouvées sur l’itinéraire et l’état du GR65. Les itinéraires ont été conçus sur la plateforme “Wikilocs”. Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire d’avoir des cartes détaillées dans votre poche ou votre sac. Si vous avez un téléphone mobile ou une tablette, vous pouvez facilement suivre l’itinéraire en direct. Pour ce chemin, voici le lien:


https://fr.wikiloc.com/itineraires-randonnee/de-avenches-a-payerne-par-oleyyres-et-belmont-99883019

Si vous ne voulez que consulter les logements de l’étape, allez directement au bas de la page.

Après la civilisation romaine, faisons un bond quelques siècles plus tard pour nous retrouver à la cathédrale de Payerne. Peu avant l’an mille, une vie religieuse croît à Payerne avec le soutien de la famille royale de Bourgogne, qui rattacha la communauté payernoise est au grand monastère bénédictin de Cluny, en France. Dès le Xème siècle, une grande église romane fut construite ici Elle fut embellie et transformée au fil des siècles. En 1536, Payerne passa à la Réforme et le monastère fut fermé. Il s’en suivit une longue période, où le monument servit à divers usages civils. C’est seulement à la fin du XIXème siècle que l’intérêt pour l’Abbatiale fut ravivé. Elle fut classée monument historique en 1900 et restaurée à plusieurs reprises au XXe siècle et au XXIe siècle. La dernière restauration date de ces dernières années.

On l’a dit précédemment. Le parcours depuis Morat n’est pas à proprement parler un parcours répertorié par la Via Jacobi de Compostelle, mais c’est un parcours fléché, et vous n’allez pas vous perdre. Alors ici, les Amis de Compostelle ont aussi proposé un itinéraire, car aucune Via Jacobi ne passe par ici. Il n’y a aucun problème jusqu’à Pra Graud au-dessus de Domdidier. Mais ici, ils proposent une variante qui suit surtout la route et qui est mal fléchée, pour ne pas dire plus. Nous avons donc opté pour un plus beau parcours qui traverse une forêt enchanteresse. Il y a bien évidemment de la route pour y arriver, mais une fois dans la forêt, le parcours suit de très beaux chemins. Plus loin, vous rejoindrez, peu avant Belmont, le parcours proposé par les Amis de Compostelle.

Nous continuerons donc de nommer Voie des 3 Lacs, le parcours qui va jusqu’à Moudon.

Difficulté du parcours : Les dénivelés aujourd’hui (+237 mètres/-246 mètres) sont faibles. La difficulté particulière à signaler est la montée par Oleyres vers la forêt.

Aujourd’hui encore, le goudron a la primeur :

  • Goudron : 9.0 km
  • Chemins : 6.4 km

Parfois, pour des raisons de logistique ou de possibilités de logement, ces étapes mélangent des parcours opérés des jours différents, ayant passé plusieurs fois sur sur ces parcours. Dès lors, les ciels, la pluie, ou les saisons peuvent varier. Mais, généralement ce n’est pas le cas, et en fait cela ne change rien à la description du parcours.

Il est très difficile de spécifier avec certitude les pentes des itinéraires, quel que soit le système que vous utilisez.

Pour les “vrais dénivelés”, relisez la notice sur le kilométrage en début de site.

Section 1 : Dans les collines d’Avenches.

 

 

Aperçu général des difficultés du parcours : parcours sans grande difficulté.

 

Partons aujourd’hui de l’église qui jouxte les arènes d’Avenches.
Le parcours descend alors du centre de la cité par la Rue de Lausanne, au milieu de maisons patriciennes assez intéressantes.

Au bas de la colline, il traverse la RN1 et la suit jusqu’à un rond-point à la sortie du bourg. Ici, le chapiteau n’a rien de corinthien, de dorique ou de romain d’aileurs.

Puis, une petite route part à angle droit vers la colline, suivant bientôt le ruisseau du Chandon.
Elle va traverser le ruisseau et repartir plus haut à angle droit et monter un peu dans les prés.
Un large chemin de terre monte alors en pente douce, pour près d’un kilomètre, dans les prés au-dessus de la colline dominant Domdidier.

Ici, le chemin retourne en pays fribourgeois, et en conséquence les croix réapparaissent.

Plus haut, nous approchons de maisons d’habitation. Par conséquent, le goudron revient aussi.
La route passe alors sur la crête, au milieu de petites villas, dominant le village de Domdidier dans la plaine. Au bout de la route rectiligne, le parcours rejoint la route principale et tourne à gauche. A droite, la route descend sur Domdidier dans la plaine. Le village est une enclave fribourgeoise dans le canton de Vaud.
Nous sommes au lieudit Pra Gaud, un carrefour très stratégique. Ici, il y a plusieurs directions, et un panneau montre les possibilités, avec même un parcours qui revient vers Avenches. Le vôtre ce sera celui d’Oleyres. Montez alors quelques mètres, pour vous trouver au rond-point des directions des routes.

Les organisateurs du Chemin de Compostelle proposent de prendre la route de droite qui va vers Les Granges, Russy. Soit ! Mais, il n’y a aucun panneau de direction sur cet axe, et vous ne saurez jamais où vous allez, sauf quand vous verrez des noms comme Eissy ou Russy. D’autre part, ce n’est que de la route goudronnée. Alors, nous proposons plutôt de prendre la direction d’Oleyres, à gauche. Certes, il y a du goudron aussi pour atteindre le village. Mais, par la suite, c’est une longue traversée de la belle forêt au-dessus du village. Le trajet par ici est un peu plus long, mais plus beau. Les deux parcours se retrouvent sur les hauts de Russy.

Assez rapidement sur la route d’Oleyres, il faut bifurquer sur la droite et emprunter le Chemin de St Georges qui monte sur la colline.
Ici, le Chemin de St Georges traverse le ruisseau de Coppet et entame la montée.
Le Chemin de St Georges est une petite route goudronnée de campagne qui serpente et monte en pente assez soutenue, mais supportable, vers Oleyres sur plus d’un kilomètre. Rapidement, on voit le village au-dessus.

Section 2 : Une belle balade en forêt.

 

Aperçu général des difficultés du parcours : pentes marquées sur le tronçon

Plus haut, on se rapproche progressivement du village qui s’étend dans la campagne.
Bientôt, la route arrive au bas du village.

Ici, c’est le charme de la campagne à ciel ouvert, avec de petites maisons ou des fermes au milieu des vaches dans la verdeur des prés.

La route traverse un village assez étendu, avec son école, son clocheton et la petite église. Il y a même un restaurant qui ne peut que faire rêver, étant donné son nom. Mais il ne dit pas être souvent ouvert. A Oleyres, vous êtes à nouveau dans le canton de Vaud.

Ici, il faut suivre la direction Payerne, en passant par Belmont. Payerne est annoncé à près de 3 heures d’ici.

Il faut donc suivre un bout la route qui va vers Grolley.
A la sortie du village, la route côte un peu plus (10% de pente) au milieu des arbres fruitiers et des vaches. Dans le canton de Fribourg, la majorité des vaches est de la race Holstein, soit noire et blanche, soit rousse et blanche. Même si ici, nous sommes en pays de Vaud. Mais seules les vaches reconnaîtront leurs petits.
Le parcours ne reste pas longtemps sur la route de Grolley. Une petite route goudronnée s’en va vers la droite en direction de la forêt. Ici, les panneaux de direction n’indiquent plus Payerne, mais il n’y a qu’un chemin. Vous ne vous perdrez pas dans l’immense forêt, d’autant plus qu’il y a l‘indication salvatrice jaune des chemins baisés en Suisse.
Peu après, on trouve la terre battue et le chemin se rapproche de la forêt. Ici, vous êtes parti pour une longue balade de près de 3 kilomètres dans la magnifique forêt de Grand Belmont. Le chemin est très bien indiqué, car il y a risque d’emprunter souvent de grandes voies transversales qui servent à l’exploitation des bois.
A départ vous avez le sentiment d’entrer dans un jeu de quilles avec ces hêtres dressés comme sur une piste confuse. Risquerons-nous de nous perdre dans ce fouillis ?
Mais rapidement, la situation se normalise et un chemin plus large vous est offert.
C’est un chemin qui file tout droit, avec de fréquents changements de direction à angle droit, et des traversées de routes forestières.

On trouve même des sapins de Douglas, aux troncs fort élancés, auxquels il ne reste souvent qu’un toupet pour toucher le ciel.

Parfois, le chemin se fait plus étroit au milieu des hêtres et des épicéas. L’exploitation forestière a l’air d’être très présente ici. Du hêtre, bien sûr, et un peu de chêne aussi,

De pistes forestières en grandes avenues d’exploitation, le chemin progresse, presque à plat, sous les arbres. On trouve parfois de magiques conifères, des épiças et des Douglas qui dialoguent avec le ciel.

Vous comprenez vite que dans un tel contexte ou un arbre ressemble à son voisin, ou un chemin ne paraît pas différent d’un autre, les possibilités de s’égarer existent. Heureusement que les beaux panneaux jaunes de direction helvète sont votre viatique. Ne les perdez jamais du regard !

Section 3 : D’une forêt à l’autre en redescendant vers la plaine.

 

 

Aperçu général des difficultés du parcours : pentes marquées sur le tronçon.

Peu après, le chemin devient plus large, et on s’approche d’une clairière.
Puis, le chemin sort un peu de la forêt dans une grande clairière, où on aperçoit à l’autre extrémité une petite cabane. La route devient alors plus carrossable, il y a même un petit tronçon d’asphalte.
Le chemin arrive alors, en bout de clairière, à la Place du Réservoir, qui est une place de pique-nique. On y arrive en voiture.
Le chemin repart alors avec douceur dans la forêt, pendant de très longues minutes. Le bois est toujours un mélange de feuillus et de conifères. Ce sont surtout des hêtres et des épicéas. Les chênes et les érables ne sont pas légion dans ces forêts, mais il y en a. A la différence de la France, les frênes ne sont jamais abondants dans les forêts suisses, et les châtaigniers se comptent sur les doigts.
Plus loin, un chemin étroit plonge à des pentes souvent supérieures à 15% dans la forêt.
Mais la descente n’est pas longue, et le chemin, en sortant de la forêt, rejoint une petite route goudronnée sur les hauts du village de Russy.
C’est ici, dans un quartier de villas assez luxueuses qui dominent la plaine, que notre parcours rejoint la variante de la route d’Essy/Russy, proposée par les Amis du Chemin de Compostelle.
Mais notre parcours ne va pas à Russy. La route descend un peu le long des villas.
Au fond de la brève cuvette, un chemin retourne en forêt. Il monte en pente douce quelques instants vers le sommet de la colline, dans la forêt de Belmont…
… pour redescendre en pente soutenue au bas de la colline.

Il y a surtout de vénérables chênes et de majestueux hêtres par ici. Mais, les conifères ne sont pas de la revue.

La forêt est magnifique ici et la descente n’est pas longue.
Au bas de colline, près d’une place de pique-nique aménagée, le chemin rejoint la route à l’entrée du hameau de Belmont.
Ici, il y a même des bateaux. Mais où vont-ils ?

La route passe bientôt au carrefour de Belmont, une poignée de maisons au bord de la route.

Depuis la bifurcation de Belmont, une petite route agricole prend la direction de Corcelles/Payerne, descend dans la campagne ouverte et les haies. Le petit ru de Merdasson serpente le long de la route.
Puis, près d’un grand complexe agricole, la route se fait plaisir en dessinant de grandes rectilignes à angle droit.
Elle remonte même à angle droit dans les champs. Cela devient un petit peu plus difficile pour certains…
Puis, elle tourne à nouveau à angle droit et descend dans les prés vers la plaine.

Section 4 : En route pour la belle Abbaye.

 

Aperçu général des difficultés du parcours : parcours sans difficulté.

La petite route descend toujours, avant de tourner à nouveau à angle droit.
Ici, on commence à trouver un peu plus de cultures.
La route descend jusqu’à trouver une haie qui longe le ruisseau de Merdasson. Alors un chemin part dans l’herbe le long des buissons et des arbres chétifs.
On a alors devant soi l’Église de Notre Dame des Tours comme horizon ou alors une grande tour agricole.
Le chemin traverse à gué un ruisseau où l‘eau coule à peine et se rapproche de l’église.
L’église Notre-Dame de Tours, également appelée église Notre-Dame de Montagny-les-Monts est catholique. Elle appartient à la commune de Cousset, à deux pas d’ici dans le canton de Fribourg, bien que nous soyons aussi tout proches de Payerne appartenant lui au canton de Vaud. Construit sur une ancienne chapelle du Moyen-Âge, le bâtiment actuel date de la fin du XVIIIème siècle et a été agrandi en 1926.

C’est un lieu de pèlerinage encore fréquenté aujourd’hui par les malades et les paroisses. La légende dit que, la chapelle devant être démolie, la statue de la vierge fut transportée dans un village voisin, en l’église de Montagny-les-Monts. Le matin suivant, elle fut retrouvée miraculeusement dans sa chapelle d’origine. A plusieurs reprises, on tenta de la déménager, sans succès. On la laissa donc à l’endroit actuel. De nombreuses légendes presque identiques sont reportées à travers toute l’Europe.

Ici, on trouve comme par hasard un panneau de direction pour la Via Jacobi 4. Merci ! On aurait bien aimé retrouver ces panneaux plus tôt, d’autant que ce n’est pas à Payerne que l’on retrouver la Via Jacobi 4, mais à Moudon, une étape plus loin.

Un chemin d’herbe quitte le bel et tranquille site de l’église.
Plus loin, il rejoint une route peu avant Corcelles.
La route passe au-dessus de la RN1, la route Lausanne-Berne et descend plus bas vers le village.
Elle traverse alors la partie haute du village, de nature plutôt paysanne. C’est plutôt l’ancien village ici.
A deux pas, le parcours traverse la rivière de l’Arbogne.
Après la rivière, un étroit chemin de terre se dirige, puis longe la voie de chemin de fer.

Corcelles-sur-Payerne (2’500 habitants) a le luxe d’avoir deux gares, une au nord du village sur la ligne qui va vers Berne, et l’autre au sud, qui part vers Fribourg. Ici, nous sommes près de la gare de Corcelles-sud, à une demi-heure de marche de Payerne.

Le parcours traverse alors les rails près de la gare et s’en va vers la périphérie du bourg.
La route longe alors les villas, dont on ne sait pas si elles font partie de la banlieue de Corcelles ou de Payerne.
Peu après, le parcours passe dans les prés avant de se retrouver à l’entrée de Payerne, sur les hauts.
Il rejoint alors le goudron et traverse un lotissement de villas récentes…
…avant de descendre vers le centre-ville, dans le quartier de la gare.
Il passe alors sous la voie de chemin de fer et gagne la gare. Devant soi, se dresse la flèche de la cathédrale.

Section 5 : Petite visite de Payerne et de sa cathédrale.

Payerne (10’000 habitants), pour les touristes, se résume à l’Abbatiale. L’activité est surtout présente entre la gare et la cathédrale, où on note quelques jolies places.

Mais le joyau incontournable et la cathédrale Notre Dame. Le début de la construction sur l’emplacement d’une villa romaine remonte à la fin du Xème siècle. Il fut initié par Ste Adélaïde, fille de la Reine Berthe de Souabe, impératrice de l’Empire romain germanique, en relation avec l’ordre cistercien de Cluny. Dès le milieu du XIème siècle, on y construisit une seconde église, l’élément de base de l’abbatiale qui est toujours visible aujourd’hui. Deux incendies ravagèrent l’église au XIIème et XVème siècles, mais à chaque fois elle fut reconstruite. Payerne devint alors un prieuré clunisien d’importance, disposant de nombreuses dépendances et autour duquel se développa le bourg médiéval. L’attachement à Cluny prit fin en 1444. Puis, les Bernois imposèrent la Réforme à Payerne en 1536. Alors, le monastère, fut fermé en 1565, et les moines sommés de quitter les lieux et de se convertir. L’abbatiale fut alors transformée successivement en grenier, en fonderie de cloches, en cantonnement militaire, en prison puis en local des pompes. Les Bernois détruisirent le cloître ainsi qu’une partie des bâtiments abbatiaux. Ne subsistèrent que l’abbatiale Notre-Dame, la salle capitulaire et une aile de l’abbaye (dormitorium).

La renaissance de l’abbatiale date de la fin du XIXème siècle, et dès 1920, des fouilles et des travaux sont entrepris. Puis, un couteux projet de sauvegarde et de conservation fut lancé en 2007 car le bâtiment menaçait de s’effondrer. Les façades et les toitures furent stabilisées et une partie des voûtes et des peintures intérieures remises en valeur. L’abbatiale rouvrit au public le 11 juillet 2020 avec un nouveau parcours de découverte. Allez-y, c’est une des plus belles églises romanes du monde.

La visite de l’abbaye s’est modernisée et on y suit un parcours initiatique. Le parcours débute avec une découverte panoramique du site, sur grand écran.

Dans la nef romane on appréhende l’espace et la hauteur majestueuse de l’édifice. La lumière diffuse qui y pénètre procure comme une grande bouffée d’émotion, de rêverie et de recueillement. Cette partie romane ressemble étrangement à l’église de Vézelay, pour ce qui est de la couleur des pierres, avec la même alternance de pierres de différentes couleurs. C’est au niveau du chœur que la lumière est la plus vive. Mais tout est relatif. C’est le grand charme des églises romanes de se complaire dans l’ombre, dans le secret, dans le mystère, au contraire des églises gothiques qui jouent les prétentieuses, ou des églises baroques qui jouent les aguicheuses.

Cet édifice roman est complété par peu d’éléments gothiques tardifs. L’abbatiale possède des fresques du XIème et XIIème siècles, ainsi que de très beaux chapiteaux ornant les colonnes montrant des scènes bibliques et des éléments végétaux, comme dans la grande majorité des églises célèbres. Où que l’on y déambule, dans la nef centrale, dans le chœur ou dans les bas-côtés, la faible clarté et les reflets jouent avec le gris et l’ocre des grès et des marnes.
En hauts d’étroits escaliers du narthex, vous avez accès à la Chapelle St Michel, ancien lien de célébration des moines en faveur des défunts. C’est assez kitch ici. Par contre, la Chapelle de Grailly, est un beau joyau gothique du XVème siècle, contrastant avec la sobriété romane de l’église. Mais, dans l’ensemble, les transformations apportées aux XIVème et XVème siècles sont mineures, au niveau de la tour-lanterne gothique et des chapelles. On est donc en présence d’un art roman pratiquement à l’état pur.
Si le cloître a disparu, on devine encore son emplacement dans les bâtiments externes de l’Abbaye. Il en est de même de l’ancien Hôtel de ville.

 

Logements sur la Voie des 3 Lacs

Payerne
Dortoir Maison des Cadets 079 281 40 71
Chambres d’hôte Chambres Rue Favez 8 078 226 29 20
Chambres d’hôte Les gîtes de Clément, Impasse des Dîmes 1 079 855 97 02
Hôtel***, repas, petit déj. La Suite Hôtel-Restaurant, Rue du Temple 10 026 662 00 20
Les logements ne sont pas légion sur la Voie des 3 Lacs. Il n’y a pas grande facilité à se loger sur l’étape. Réservez à tout prix.
N’hésitez pas à ajouter des commentaires. C’est souvent ainsi que l’on monte dans la hiérarchie de Google, et que de plus nombreux pèlerins auront accès au site.
Etape suivante: Etape 11: De Payerne à Moudon
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