Aujourd’hui, vous quittez les paisibles contrées du canton de Fribourg pour embrasser le charme différent du canton de Vaud. C’est une première incursion pour vous dans le vaste décor du plateau suisse, un territoire discret, presque timide au sein de la nation. Occupant seulement 30 % de la superficie du pays, il s’étend entre les reliefs du Jura et les imposantes cimes des Alpes. Toutefois, il se révèle être bien plus qu’une simple étendue plate, car il se compose principalement de collines, harmonieusement ondoyantes entre 400 et 600 mètres d’altitude. Cette région, de loin la plus densément peuplée de la Suisse, bat au cœur de la Suisse alémanique. Quant aux cités du plateau romand, elles se distinguent par leur modestie. Vous voici désormais plongés au cœur d’un plateau authentique, où la Broye serpente gracieusement, fécondant les terres fertiles qui accueillent à profusion grandes cultures et maraîchage. C’est là que germe plus de 85 % du tabac helvétique, même si ses champs, autrefois florissants, pâlissent peu à peu.
Nous avons divisé l’itinéraire en plusieurs sections, pour faciliter la visibilité. Pour chaque tronçon, les cartes donnent l’itinéraire, les pentes trouvées sur l’itinéraire et l’état du parcours (routes ou chemins). Les itinéraires ont été conçus sur la plateforme “Wikilocs”. Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire d’avoir des cartes détaillées dans votre poche ou votre sac. Si vous avez un téléphone mobile ou une tablette, vous pouvez facilement suivre l’itinéraire en direct.
Difficulté du parcours : Les altitudes aujourd’hui se font douces, ponctuées d’une ascension modeste de 117 mètres et d’une descente gracieuse de 347 mètres en direction de Curtilles. Le reste du périple s’annonce comme une douce errance, une promenade au fil d’une étape délicieusement courte.
État de la Via Jacobi: Les routes et les sentiers se présentent à vous dans une presque parfaite équivalence :
Goudron : 7.4 km
Chemins : 8.8 km
Ce n’est évidemment pas le cas pour tous les pèlerins d’être à l’aise avec la lecture des GPS et des cheminements sur un portable, et il y a encore de nombreux endroits sans connexion Internet. De ce fait, vous trouvez sur Amazon un livre qui traite de ce parcours.
Si vous ne voulez que consulter les logements de l’étape, allez directement au bas de la page.
Parfois, pour des raisons de logistique ou de possibilités de logement, ces étapes mélangent des parcours opérés des jours différents, ayant passé plusieurs fois sur sur ces parcours. Dès lors, les ciels, la pluie, ou les saisons peuvent varier. Mais, généralement ce n’est pas le cas, et en fait cela ne change rien à la description du parcours.
Il est très difficile de spécifier avec certitude les pentes des itinéraires, quel que soit le système que vous utilisez.
Pour les “vrais dénivelés ”et pour les passionnés de véritables défis altimétriques, consultez attentivement les informations sur le kilométrage au début du guide..
Section 1 : Au-dessus de Romont
Aperçu général des difficultés du parcours : parcours sans difficulté.
La descente se révèle ardue, les rues étroites se dressent en pentes abruptes, rappelant l’histoire millénaire de la ville.
À l’approche du carrefour, la silhouette imposante de la Tour à Boyer se dresse majestueusement. Érigée au XIIIe siècle, cette forteresse miniature fut jadis dotée d’un système défensif, la transformant en une véritable sentinelle de pierre. Au XIXe siècle, un certain Monsieur Boyer, tenté par l’appât du gain, envisagea de démanteler ce joyau pour d’autres desseins. Fort heureusement, la ville s’opposa à ce dessein, préservant ainsi l’intégrité de cette tour emblématique. L’esplanade qui s’étend à ses pieds offre un terrain de jeu enchanté aux plus jeunes, tel un précieux écrin de loisirs au cœur de l’histoire.
Au croisement, la Via Jacobi se faufile le long de la Rue d’Arrufens, se frayant un chemin hors des remparts de la ville.
Désormais, la banlieue se profile avec une régularité presque mécanique, bordée par des constructions qui s’élèvent vers le ciel, défiant l’horizon de leur stature imposante. Les immeubles se dressent telles des sentinelles de béton, témoins d’une époque où la verticalité est devenue le symbole même du progrès et de la modernité. Là où autrefois le charme médiéval régnait en maître, se dessine désormais un paysage urbain en pleine mutation, façonné par l’essor industriel et l’urbanisation galopante.
Le parcours plus loin se métamorphose en une mince bande de goudron, délimitant le territoire des piétons le long de la route, tandis que le regard se perd sur les lignes épurées de Bicubic, un centre culturel et sportif qui célèbre la fusion entre l’art et le mouvement .
À la sortie de la cité, un vaste carrefour s’érige en gardien des horizons nouveaux.
Là, la voie ferrée se déploie devant l’usine TetraPak, symbole de l’industrie moderne, une usine d’origine suédoise mais qui possède son siège en Suisse, spécialiste de l’emballage.
Entre les rails et les cheminées, se profile le modeste Oratoire de Notre Dame des Pauvres, témoin silencieux des évolutions du paysage.
Un chemin coupe l’usine, traverse les voies de l’usine et se rapproche d’un petit bois.
Dans le petit bois coule le Glaney, quasi à sec, aux pieds du petit oratoire, extrêmement kitch.
Le Chemin de la Maillarde s’ouvre alors, rocailleux et vaillant, épousant les contours des prés verdoyants peuplés de chênes centenaires.
À mesure que l’altitude gagne en prestance, le chemin se love sous un dais de feuillages, offrant une parenthèse ombragée aux randonneurs épris de quiétude.
Bientôt, les premières maisons de Billens émergent à l’horizon, offrant une première halte bienvenue.
Le regard porté en arrière révèle le panorama majestueux de Romont et de sa colline, tel un précieux cadeau aux voyageurs.
La Via Jacobi rejoint alors une route qui se dirige vers Billens.
Ici, c’est la pleine campagne, où les horizons s’étendent, ponctués çà et là par de doux vallons verdoyants et des prés d’un vert éclatant. C’est là que paissent paisiblement les vaches, symboles indéfectibles de cette vie rurale où le temps reste suspendu.
La route se fraye ensuite un chemin à travers les campagnes verdoyantes, longeant des haies ombragées, des zones plus résidentielles, jusqu’à atteindre le seuil du village de Billens. Pourtant, la Via Jacobi, fidèle à sa vocation, n’y va pas, laissant derrière elle les contours familiers de l’hôpital régional de Billens.
De Billens à Hennens, la route traverse un pays essentiellement agricole et de grandes fermes dans les prés. Il n’y a pour ainsi dite pas de cultures, mais quelques arbres fruitiers ici et là.
Plus loin, la route arrive à l’entrée de Hennens.
Section 2 : Du canton de Fribourg au canton de Vaud
Aperçu général des difficultés du parcours : quelques pentes mais rien de très difficile
La route serpente à travers un humble hameau, où la vie s’égrène au rythme des saisons, entre les fermes parsemées telles des notes sur une partition.
Dès lors que vous quittez les limites du village, la route s’élève timidement, dévoilant çà et là les splendeurs des fermes fribourgeoises, vestiges immémoriaux de bois et d’histoire, habilement restaurées au fil des siècles.
Une ascension vers la chapelle Saint-Bernard de Montjoux s’amorce, édifice séculaire érigé à la fin du XVIIe siècle et rénové avec respect au XIXe, témoin précieux inscrit au panthéon des biens culturels régionaux. Toujours sous le joug de la foi catholique, le paysage se transforme à quelques encablures, délaissant les terres fribourgeoises pour les plaines protestantes vaudoises. Vous n’êtes pas montés de beaucoup. Vous vous trouvez presque à la même hauteur que les hauts de la citadelle de Romont, à l’horizon.
La route s’élève encore, caressant légèrement les pâturages et les champs de maïs. Nulle trace humaine à l’horizon, seulement la nature dans sa pureté vierge.
Romont s’efface peu à peu derrière vous, se noyant dans les méandres du temps et de l’espace.
Plus loin, la Via Jacobi délaisse l’asphalte pour une sente plus étroite, s’enfonçant dans les prés tels des doigts explorant les reliefs de la terre.
Un peu plus loin, un chemin s’étend à plat dans l’herbe, menant jusqu’à une antenne de télécommunication dressée fièrement.
C’est ici, au sommet de votre périple, que vous touchez du doigt l’apogée de votre ascension. À peine cent mètres plus haut que le pied de Romont, vous franchissez la frontière invisible entre Fribourg et Vaud, matérialisée par un humble bornage de granit, défi lancé à la modernité des tracteurs agricoles.
De l’antenne, la route s’engage dans une forte descente, vous menant jusqu’aux rives paisibles de la vallée de la Broye. Parfois abrupte, la pente vous entraîne par des méandres sinueux, jusqu’à ce que se dessinent à l’horizon les majestueux contreforts des Alpes fribourgeoises.
La descente se poursuit, jusqu’à ce que les premières habitations de Lovatens se dessinent à l’horizon.
À travers les méandres pittoresques de la campagne, la Via Jacobi serpente avec grâce au cœur des exploitations agricoles qui ponctuent le paysage. Dans ce panorama tranquille, où les fermes semblent dépourvues de l’élégance singulière des demeures de la Suisse alémanique, le regard se laisse emporter par une transition progressive de l’architecture paysanne. A partir d’ici, vous verrez de moins en moins de fermes jusqu’à Genève.
Après un ample virage, la Via Jacobi émerge au cœur du village.
On reste interrogatif sur l’origine et le rôle de ce menhir, planté dans les prés comme un totem.
Là, au sein de Lovatens, règne une quiétude apaisante. Au détour de ses ruelles, une modeste auberge se mue en sanctuaire de connaissances, abritant en ses murs non seulement des rafraîchissements pour le corps, mais aussi des trésors pour l’esprit, dans une harmonie subtile entre culture et convivialité. Lovatens dépeint une toile vivante où se mêlent traditions séculaires et aspirations modernes. Ici, l’agriculture, l’élevage et les vergers dessinent le quotidien, mais déjà se dessine une évolution, avec l’arrivée progressive des citadins en quête d’un retour à la terre.
Une route escarpée dévale du village en direction du lieu de repos ultime, le cimetière, offrant en contrebas une vue imprenable sur le bourg de Lucens. En Suisse, la confession religieuse se dévoile souvent au détour des chemins, où la topographie elle-même révèle les croyances des habitants. Chez les protestants, le cimetière s’éloigne souvent du temple, témoignant de cette distance spirituelle. A Lovatens, le temple est dans le village, le cimetière perdu dans la nature, au fond du village. Nous sommes donc en pays protestant.
Depuis le cimetière, une modeste route descend vers le sous-bois, puis coupe à angle droit.
Plus bas elle longe la forêt très fournie en épicéas, avec de plus rares feuillus.
Plus bas, dans la vallée, l’horizon s’élargit pour révéler Lucens et son imposant château, symboles de puissance et de tradition dans ce panorama vallonné.
La route, telle une flèche lancée par la main du destin, s’enfonce alors dans les bois mystérieux.
Section 3 : Le long de la Broye
Aperçu général des difficultés du parcours : parcours sans aucune difficulté.
La route s’enfonce tel un explorateur intrépide dans l’enchevêtrement boisé, son parcours devenant graduellement plus escarpé, défiant la gravité avec une inclinaison qui avoisine les 20%. Bientôt, le goudron laisse place à la solidité du béton, symbole tangible de la rude descente à venir. Cette forêt sauvage, impénétrable et sans pitié, ne réserve aucun répit, aucune indulgence pour l’âme assoiffée de beauté et de sérénité. Elle se présente comme le reflet d’une nature implacable, où seuls les êtres les plus robustes et les plus résilients peuvent espérer survivre. Au creux de la vallée, le murmure du ruisseau des Vaux résonne tel un écho ancestral, empreint de mystère et de vitalité, une mélodie immuable qui rythme le cours inexorable du temps.
Dans les profondeurs de cet écrin de verdure, le sentier bétonné se fond avec élégance dans la trame routière reliant Romont à Moudon.
La Via Jacobi, telle une héroïne audacieuse, s’élance sur la route principale, franchissant avec assurance le ruisseau des Vaux, tel un serpent qui se dérobe furtivement sous le couvert des buissons, comme une divinité timide cachée dans les replis secrets de la nature.
Curtilles se présente alors comme un havre de réconfort, une oasis bienvenue dans le désert de l’effort.
Ici, on trouve de quoi se restaurer. A seulement quinze minutes de marche, Lucens étend ses bras accueillants, mais la Via Jacobi, fidèle à son chemin, poursuit sa route. C’est ici que la variante de Bâle au Jura, traversant Payerne, rejoint la Via Jacobi 4. Dans le canton de Vaud, où les clochers se dressent moins pour les églises que pour les édifices administratifs et les écoles, réside l’empreinte indélébile d’une histoire marquée par le protestantisme.
Une fois de plus, la route s’évade dans la campagne environnante, tel un serpent d’asphalte ondulant entre les prés verdoyants, les champs de tabac, de maïs et de céréales, semblable à une rivière d’encre sombre dans un océan de verdure.
De l’autre côté de la vallée, se découpe la silhouette imposante du château de Lucens, gardien majestueux des secrets enfouis dans les méandres du temps.
Plus loin, la voie serpente gracieusement entre les demeures éparses du hameau de Prévondens, témoins silencieux d’une vie rurale ancrée dans la terre nourricière. Cette région bénie de la Broye, terre fertile et généreuse, se distingue par ses vastes étendues cultivées, offrant un spectacle saisissant en contraste avec les vastes prairies de la Suisse alémanique déjà parcourues.
La route transite longtemps dans les cultures qui se perdent dans la plaine et sur les collines.
La route poursuit son chemin à travers les lotissements ordonnés, où se dressent çà et là de modestes fermes et de coquettes maisons bourgeoises, témoignant de l’art de vivre de cette contrée. Disséminées le long du chemin ou perchées sur les hauteurs, ces demeures évoquent un tableau teinté d’élégance et de distinction.
Puis, la voie s’approche d’un bois ombragé où s’ébroue un ruisselet paisible, traversant les champs de la plaine pour rejoindre les eaux tumultueuses de la Broye.
La Via Jacobi vire alors à gauche, s’enfonçant dans un sentier de terre large longeant la rivière, où le temps est figé dans l’éternité du paysage. À quarante-cinq minutes de Moudon, l’aventure continue, rythmée par le doux murmure des eaux et le ballet des feuillages.
Le chemin, tel un compagnon fidèle, remonte la vallée de la Broye sur des kilomètres, sous la canopée protectrice des bouleaux, des frênes, des chênes et des peupliers. Juste à côté, la route de Lausanne à Berne et la voie ferrée se déroulent en parallèle, une symphonie de mouvement et de vie qui contraste avec la quiétude intemporelle du paysage.
Section 4 : Encore et toujours le long de la Broye
Aperçu général des difficultés du parcours : parcours sans aucune difficulté.
Un peu plus loin, un pont de fer se tend au-dessus des eaux cristallines, invitant les voyageurs à franchir la rivière pour s’aventurer sur un nouveau sentier de découverte. Cependant, la Via Jacobi, fidèle à sa trajectoire, demeure sur la même rive, tissant son récit le long des rives sinueuses. Le murmure apaisant de l’eau accompagne chaque pas, une mélodie douce dans le ballet incessant de la nature environnante.
Sur ce chemin, la compagnie des cyclistes est assurée, une cohorte mouvante et variée qui partage l’attrait de la platitude offerte par le paysage. Le sol, tel un tapis accueillant, se déroule en une invitation constante à la contemplation, à la méditation des pas cadencés.
La route de terre battue s’approche alors du domaine industriel de Moudon, franchissant les frontières entre la nature sauvage et l’activité humaine. Au détour d’un bosquet, une clairière se dévoile, offrant un havre de paix au bord d’un étang, le plan, où les murmures de l’eau se mêlent aux rires des pique-niqueurs. Un tableau bucolique où se mêlent les ombres dansantes des arbres et les reflets miroitants de l’étang, une halte bienvenue dans le périple des marcheurs.
La silhouette familière de Moudon émerge peu à peu de l’horizon, ses contours dessinés par la main de l’histoire et du temps. L’herbe caresse désormais les pas, remplaçant la poussière des sentiers précédents, tandis que de l’autre côté de la Broye, la silhouette imposante de l’industrie se dessine. Un contraste saisissant entre l’agitation du progrès et la quiétude intemporelle des campagnes.
Aux portes de Moudon, la Via Jacobi franchit la Broye d’un pas assuré, offrant aux voyageurs une vision proche de la cité, tapie dans la plaine. Une fromagerie se niche sous les falaises.
La route se dirige alors vers la gare.
Moudon, d’origine celtique, a aussi connu une période romaine florissante. Aujourd’hui, le bourg comprend 6’000 habitants. La Via Jacobi remonte vers le centre-ville le long de la Broye. Ses ruelles étroites résonnent des murmures de l’histoire, tandis que l’église St Etienne, telle une sentinelle de pierre, veille sur la cité. Sa silhouette imposante se dresse, témoignage vivant des tumultes du passé, et abrite en son sein le plus ancien orgue jouable du Canton de Vaud, un trésor musical préservé à travers les âges.
Du cœur de la cité, la Via Jacobi s’élance tel un serpent de pierre, s’élevant avec élégance vers les hauteurs qui surplombent la vallée. La rue, tel un défi lancé aux intrépides, monte avec détermination, conduisant les marcheurs vers les hauteurs couronnées par l’histoire.
Au sommet de la colline, vestige majestueux d’un passé glorieux, se dresse le château, gardien des secrets enfouis dans les replis du temps. Ses murs de pierre, témoins silencieux des tourments du passé, résistent encore et toujours à l’oubli. Deux sentinelles, le Château de Carrouge et le Château de Rochefort, se dressent fièrement, symboles d’une époque révolue mais jamais oubliée. Le premier, vestige d’une forteresse autrefois imprenable, arbore sa tour majestueuse, tandis que le second, abrite en son sein un musée des beaux-arts, gardien des trésors artistiques de la région. Une symphonie de pierre et de mémoire qui résonne à travers les âges, invitant les voyageurs à plonger dans les méandres de l’histoire.
Dortoir de la Caserne, Moudon; 079 175 97 38 ; Dortoir
Piscine du Grand Pré, Moudon; 021 905 23 11 ; Camping, repas, petit déj.
Anne et Michel Thorens, Les Combremonts 24, Moudon; 021 905 54 20/078 886 83 07 ; Chambre d’hôte, repas, petit déj.
Anne et André Mayor, Le Plan 2, Moudon; 021 905 24 06/078 832 30 59 ; Chambre d’hôte, repas, petit déj.
Michèle Cheseaux, Ch. de Valcrêt 5, Moudon; 079 418 86 47 ; Chambre d’hôte, petit déj.
Hôtel de la Gare, Moudon; 021 905 45 88 ; Hôtel*, repas, petit déj.
Hôtel du Chemin de fer, Moudon; 021 905 70 91 ; Hôtel*, repas, petit déj.
French 75, Route du Relais 5, Moudon; 021 905 13 13 Hôtel**, repas, petit déj.
Il n’y a pas de grandes difficultés de trouver un logement sur cette étape. Vous êtes en fin d’étape en ville, avec tous les commerces. Réservez tout de même par sécurité.
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